Honte à toi, fumeur !

Ca y est, nous avons franchi un cap de plus dans la bêtise au sein de notre boîte : nous étions déjà parqués à la cafétéria du niveau –2 (qui était l’unique lieu réservé aux fumeurs), nous sommes désormais contraints de sortir de l’immeuble pour pouvoir griller une clope ! De mieux en mieux dans cette société à tendance « fascisante »…
Dorénavant, pour pouvoir fumer une cigarette, je dois :
1/ enfiler mon manteau,
2/ attendre – patiemment – l’ascenseur,
3/ sortir fumer en quatrième vitesse parce qu’il fait froid,
4/ attendre à nouveau – toujours patiemment – l’ascenseur pour retourner à mon poste.
Et tout ça, parce que l’odeur de la cigarette gênait les « personnes qui disent non au tabac » dans la cafétéria. Soit ! On aurait pu tout de même trouver un local destiné aux fumeurs si on dérangeait à ce point, non ? Et que dire des odeurs – horribles – de cuisine qui remontent lorsque nopus prenons l’ascenseur… Dois-je, moi aussi, signaler ce désagrément à la DRH et exiger qu’elle trouve une solution radicale à ces problèmes olfactifs ?
J’aime vraiment cette solution qui consiste à nous parquer, nous pauvres fumeurs que nous sommes, dans des lieux bien spécifiques… Pourquoi ne pas nous affubler également d’un joli brassard avec un logo dessus pour bien identifier les fumeurs, pour bien séparer le bon grain de l’ivraie ? On pourrait ainsi mieux nous montrer du doigt, mieux nous désigner et nous livrer à l’opprobre publique… Et pourquoi ne pas instaurer également un prime pour toutte personne signalant (et non « dénonçant », ce mot est injurieux !!!…) un fumeur qui accomplirait son horrible forfait (i.e. fumer sa cigarette) dans un lieu non prévu à cet effet ?

C’est dingue… Je parle, je parle… et je m’emporte ! Non, décidément, je vais bien trop loin : on pourrait croire que je préconise le retour à une époque, que j’espère révolue pour toujours, durant laquelle on dénonçait ses voisins. Non, je vais simplement rappeler à ceux et celles qui me conseillent d’arrêter de fumer sous des prétextes fallacieux (santé, économies,…) que fumer est un acte bien personnel, que tout ceci fait partie de ma vie privée et que, comme l’adjectif l’indique, elle ne regarde que ma pomme !
En conclusion et pour résumer ma situation : NON je n’arrêterai pas de fumer et, si je suis tout à fait d’accord pour faire attention aux personnes qui m’entourent et ne fument pas, j’exige aussi que l’on me respecte en tant que fumeur, en tant que personne à part entière. Et cessez de me casser les… bonbons avec vos histoires de santé car toi aussi, non fumeur, tu mourras un jour !

P.S. : ouf, ça va mieux…. ;o)

La chatte en vinyl viellit !

Un an de plus aussi pour toi, mon Sebounet ! Ca y est, tu as atteint le quart de siècle… Félicitations ! Et bon anniversaire chou…
Tut tuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut

Le coron est orphelin…

C’est hier qu’est tombée la nouvelle fatidique, triste, accablante et affligeante : Pierre Bachelet est décédé ! Horreur, malheur ! Nous n’aurons désormais plus que ses disques pour écouter sa voix si particulière…
Pierre bachelet, c’est ce chanteur qui nous fit découvrir – pauvres ignares que nous sommes – « Les corons ». Peut-être connaissiez-vous déjà ce terme ? Pour ma part, il a fallu cette chanson pour apprendre qu’il existait, quelque part en France, des corons… J’ai donc bien intégré que « au nord, c’était le corons… « . Comme quoi, on en apprend tous les jours, même avec une chanson aussi banale que celle-là !
Pierre Bachelet, c’est aussi un chanteur avec un sens chorégraphique poussé à son paroxysme. Souvenez-vous de son éblouissante prestation scénique lorsqu’il interprétait en plateau son succès « Marionnettiste ». Le voyez-vous, bras écartés, chanter son titre, animé de mouvements saccadés censés imiter la gestuelle d’une… marionnette ! Bravo, vous suivez, c’est un bonheur ! Combien de fois n’a-t-on vu cette chorégraphie reprise dans des « shows » de boîtes nuit ! Vous savez ce que signifie épique ? Bon, et bien là… épique ! Note technique : 1,5… Note artistique : guère mieux ! Et merci d’être venu(e)…
Sans vous dresser un catalogue exhaustif de ses titres, je ne peux passer sous silence un autre succès de Pierre Bachelet : je veux parler de cette œuvre (?) qui s’intitule « En l’an 2001 »… « Quand on aura 20 ans en l’an 2001… » clamait le chanteur. Merci vraiment ! Comment fait-on pour se sentir concerné lorsqu’on a toujours t’huit ans ? Franchement non… Finalement, je vais peut-être l’ignorer, cette chanson… ;o)
Enfin, le plus surprenant pour la fin : Pierre Bachelet n’était pas qu’un simple chanteur, si je puis m’exprimer ainsi. En effet, outre ses talents (??) d’interprète, il avait une autre corde à son arc : celle de compositeur. Et pas n’importe quel compositeur puisqu’il signe la bande originale deux films majeurs : il connaît le succès avec la musiqiue du film « Emmanuelle » (non, pas l’Emmanuelle de François Valéry mais bien celle incarnée à l’écran par Sylvia Kristel… à poil, complètement à poil !) puis, un peu plus tard, la B.O. du film culte « Les bronzés font du ski »… Ca laisse quand même songeur de pouvoir passer comme ça des Corons aux Bronzés, non ?

Tout de même, avoir fait tout ça pour, au final, le jour de son plus grand numéro, n’avoir droit qu’à un simple communiqué laconique du style : « Le 15 février 2005, Pierre Bachelet qui avait de nombreux projets en cours, décède à la suite d’une longue maladie à son domicile de Suresnes, en banlieue parisienne ». D’avance merci, je préfère encore demeurer dans l’anonymat… Comme on dit, merci l’artiste !
tut tuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut

On m’avait pourtant prévenu !

Voilà, c’est fini, terminé, achevé, liquidé, révolu… Vous n’avez pas encore deviné de quoi je parle ? Des soldes évidemment ! C’est tout moi ça : chaque jour, je me dis que ce serait bien d’aller faire un peu le tour des magasins pour voir s’il y a quelque chose que je pourrais acheter en soldes. Chaque jour, feignasse que je suis, je reporte au lendemain… Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir été prévenu : ne reporte pas à demain ce que tu peux faire aujourd’hui ! Résulat des courses : les soldes sont terminées et je n’en ai pas profité… Bravo ! Bien fait pour ma pomme ! Je n’avais qu’à me bouger lorsqu’il était encore temps !

Et oui, c’est seulement aujourd’hui que j’ai réalisé mon erreur car je pensais aller faire un tour à la Défense ce midi pour « profiter des derniers jours ». Elle est pas chouquarde celle-là : profiter des derniers jours des soldes alors que celles-ci sont finies ? A force de repousser au lendemain, j’ai tout raté et, là, j’enrage. Je vais finir par croire ce que racontait si bien un certain Jeannot (ndlr : de la Fontaine) : rien ne sert de courir, il faut partir à point ! Là, pour le coup, je n’ai ni couru et suis encore moins parti à point… tout faux le Marko !
Je le regrette d’autant plus que j’avais quelques idées d’articles importants à acquérir : des neurones pour certaine blonde de ma connaissance (on va pas non plus payer plein pot pour rendre des blondes intelligentes !), du vocabulaire pour d’autres, des idées plus sociales pour certains esprits étriqués, de la jugeotte pour d’autres écervelé(e)s… enfin, que des choses essentielles pour un monde meilleur quoi ! Mais bon, j’ai loupé le coche et il me faudra attendre les prochaines soldes…
Dommage car j’aurais aussi pu m’acheter un peu de patience et d’indulgence, histoire d’apprendre à supporter les cons et à vivre avec !
P.S. : N’insistez pas, je ne donnerai pas de nom pour les exemples du dernier paragraphe ! ;o)

Un an dans ta face mon Nicoloo…

Et bien voilà, nous y sommes : il est minuit passé de quelques minutes et nous sommes donc le 12 février ! Ca te parle le 12 février mon Nicoloo ? Et oui… Alors…

BON ANNIVERSAIRE Nicoloo !

Tut tuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut